LA CORSE EN 500 PAGES

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Sollacaro - Suddacaro

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SOLLACARO

 

 

 

 

La commune de Sollacaro-Calvese appartient au Canton de Petreto-Bicchisano dans l’arrondissement de Sartène. Couvrant 2396 ha, elle occupe une large partie de la zone avale de la vallée du Taravo. Ici le paysage offre des tableaux contrastés : après une vaste section de plaine depuis l’embouchure du fleuve, des collines couvertes d’oliviers séculaires, s’élèvent graduellement en amphithéâtre. Les villages de Sollacaro et Calvese s’étagent à près de 500 m d’altitude sur l’ubac de la chaine de Buturetu qui culmine à 871 m. Les crêtes rocheuses qui émergent d’une épaisse forêt de chênes verts, séparent le bas Taravo de la vallée du Baracci. L’histoire s’est approprié cette ligne de partage née de la conjugaison de la géologie et de l’orographie, car depuis la période médiévale cette barrière naturelle forme frontière entre les seigneuries d’Istria et de Rocca di Valle, aujourd’hui entre les cantons de Petreto-Bicchisano et d’Olmeto.

 

C’est dans un chaos granitique, au-dessus du village de Sollacaro que, selon le Chroniqueur Giovanni Della Grossa, le génois Luciano de Franchi avait édifié au XIIe siècle un « castello ». Ce véritable nid d’aigle est perché à 780 m au-dessus du village. C’est aussi à partir de ce point fortifié que la famille d’Istria  devait s’établir. Le plus illustre personnage de cette lignée fut le comte Vincentello, que le roi d’Aragon éleva en 1421, au titre de vice-roi de Corse. Farouche adversaire des génois il devait finir ses jours en 1434, dans la capitale Ligure, sous la hache du bourreau.

Le Castello d’Istria offre encore au visiteur quelques pans de murs et une citerne. Prosper Mérimée, lors de son séjour à Sollacaro en 1839, avait signalé une inscription sur un linteau qui témoignait encore de la propriété de Vincentello d’Istria. Malheureusement cette remarquable pièce archéologique a été dérobée récemment. De même que reste-t-il du dolmen du Taravo,  ou Stazzona di u Diavolu, signalé pour la première fois par le Capitaine Mathieu dans les annales de l’Académie Celtique en 1810 ? Peu de chose, car dans le cas de ce vénérable monument, méticuleusement documenté d’abord par Mérimée dans ses « Notes d’un voyage en Corse », puis par Adrien de Mortillet, plusieurs éléments (dalles monolithes, menhirs et statues menhirs de son alignement) ont été détruits ou enlevés à une date récente. C’est pourtant le signalement de ce mégalithe qui avait initié les recherches préhistoriques en Corse.



A partir de 1956, à la suite de ses devanciers, le préhistorien Roger Grosjean devait se rendre à Sollacaro. C’est sur la butte de Turrichju, non loin du hameau de Filitosa qu’il devait mettre au jour les vestiges d’un habitat préhistorique et une remarquable série de monolithes sculptés,  représentant pour la plupart des guerriers armés d’épée et de poignard. Ces témoins sans âge étaient assimilés par la tradition populaire, aux preux chevaliers : Paladini (Paladins) protecteurs des insulaires contre les sarrasins.

Les études archéologiques apportèrent la preuve d’une occupation humaine de la vallée du Taravo depuis la fin du Mésolithique (VIIe millénaire av. J.-C.) sur le site préhistorique de Campo Stefano. Ce gisement livra une sépulture collective dans un abri sous roche qui contenait les ossements d’au moins six individus de cette période.

Au cours du  Néolithique (VIe et IVe millénaires avant J.-C), la basse vallée du Taravo a été exploitée par une population agro-pastorale qui a laissé de nombreux vestiges de ses habitats. Sur la commune de Sollacaro se trouvent plusieurs gisements d'importance : Campo-Stefano qui a livré récemment les plus anciennes occupations, Filitosa et I Calanchi-Sapar’Alta. Ces deux derniers sites sont classés au titre des monuments historiques. Filitosa, par la remarquable concentration des statues menhirs et l’intérêt du village de l’âge du Bronze (IIe -Ier millénaires av. J.-C.) a été inscrit sur la liste des « 100 sites historiques d’intérêt commun aux pays de la Méditerranée » dans le cadre du « Plan d’Action pour la Méditerranée ».

Le village historique s’est construit à partir du noyau primitif du quartier des « Torri ». Sur un promontoire rocheux les feudataires d’Istria  édifièrent vers la fin du XIVe siècle une résidence plus spacieuse, en contrebas de leur nid d’aigle du  castello d’Istria. A partir du XVIe siècle trois maisons tours, accolées l’une à l’autre, vont ordonner la physionomie du village qui ne comptait alors qu’une centaine d’âmes.

Sollacaro dispose de plusieurs belles demeures en moellons de granite réguliers qui sont autant de jalons de son développement centré sur la seconde moitié du XVIIIe et le XIXe siècle.  Entre 1636 et 1861, sa population devait passer de 366 âmes à plus de 1000 habitants pour atteindre son maximum, 1561 habitants, en 1911.

L’église paroissiale, largement remaniée au XIXe siècle, a été construite sur l’emplacement de l’ancienne chapelle de « La Nonziata » (Annonciation) que se partageaient   plusieurs communautés de la piève au XVIe siècle.

En 1853 les communes de Sollacaro et de Calvese ont été fusionnées. Bien que n’ayant jamais dépassé plus de 250 habitants, Calvese est toutefois resté paroisse jusqu’au XXe siècle. L’église dédiée à saint Albert le Grand date du XVIe siècle, mais son état actuel reste celui du XVIIIe siècle. Vers 1750 elle a été agrandie et en 1759 les plafonds voûtés, de la Chapelle de Notre-Dame du Rosaire et du chœur, furent décorés de peintures et de fresques.

Sollacaro a été le séjour de plusieurs personnages illustres: Sebastianu Costa, secrétaire du roi Théodore y séjournera en 1736, le célèbre biographe écossais de Pascal Paoli, l’aristocrate James Boswell, y  rencontra le général au cours de son séjour corse en octobre 1765 dans la maison des Colonna d’Istria.  Cette même maison recevra d'autres hôtes célèbres tel Prosper Mérimée, en mission officielle en sa qualité d'inspecteur des monuments historiques, puis Alexandre Dumas y séjournera en 1841. C'est de  l'atmosphère d'une famille de Sollacaro que l'écrivain  tirera son roman : Une famille corse, qui deviendra Les Frères corses . Cette longue nouvelle, met en scène les fères jumeaux Franchi : le « sauvage » Lucien est  resté au pays, alors que Louis avocat parisien semble perdre de vue les valeurs de ses racines ancestrales. Tous deux  sont unis par un étrange lien qui leur fait ressentir les mêmes angoisses et les associe par télépathie. Aussi, lorsque Louis est tué en duel, pour avoir soutenu l'honneur de la femme d'un ami, Lucien à Sollacaro ressentira la douleur de la mort de son frère et se rendra dans la capitale pour le venger. Les héros, et l'auteur qui se met lui même en scène  dans cette tragédie, nous donnent à méditer sur les conditions des moeurs corses en cette première moitié du XIXe siècle et sur la nostalgie des valeurs sociales d'un passé qui se dissipent face à l'inexorable progression de la société moderne. Pas moins de 17 adaptations au cinéma, dont huit à l'époque du muet,  ont couronné les Frères corses dont le berceau imaginaire a été Sollacaro. (Tiré de Joseph Cesari: Aspects de la vie économique et sociale d'une communauté du sud de la Corse : Calvesi – inédit-).

 






Il comune-Sollacaro Calvese fa parte del Cantone-Petreto Bicchisano nel comune di Sartene. Rivestimento 2396 ha, esso occupa una grande porzione della zona a valle del Taravo valle. Qui il paesaggio offre immagini contrastanti: dopo una grande sezione di pianura dalla foce del fiume, colline ricoperte di olivi, a poco a poco crescere come un anfiteatro. Villaggi e Sollacaro Calvese si svolgono quasi 500 m sul lato in ombra della Buturetu catena che sorge a 871 m. Le creste rocciose che emergono da un fitto bosco di querce, divisa al Taravo Valley Baracci. La storia si è appropriato il divario creato dalla combinazione di geologia e dell'orografia, perché fin dal periodo medievale questa barriera naturale costituisce la frontiera tra le signorie di Istria e Rocca di Valle, ora tra townships Petreto-Bicchisano ed Olmeto.

E 'caos in granitica, sopra il villaggio di Sollacaro che, secondo il cronista Giovanni della Grossa, genovesi nel Luciano Franchi aveva costruito nel XII secolo un "castello". Questo vero e proprio nido d'aquila è arroccato a 780 metri sopra il paese. E 'da questo punto di forza che la famiglia dell' Istria è stata prevista. Il personaggio più famoso di questa linea fu il conte Vincentello, il re d'Aragona nacque nel 1421, sotto il Viceré di Corsica. Fiero oppositore di Genova avrebbe dovuto finire i suoi giorni nel 1434 nel capoluogo ligure, sotto la scure del boia.

Il Castello d'Istria offre ancora al visitatore poche mura e una cisterna. Prosper Mérimée, durante il suo soggiorno a Sollacaro nel 1839, aveva riferito una scritta su un architrave che ha mostrato ancora di proprietà della Vincentello dell'Istria. Purtroppo questo elemento di rilevanza nazionale è stato rubato di recente. Mentre lasciava la Taravo dolmen, o di u Stazzona Diavolu, ha riferito per la prima volta dal capitano Mathieu negli annali della celtica Academy nel 1810? Molto poco, perché nel caso di questo venerabile monumento, meticolosamente documentato prima Mérimée nelle sue "Note da un viaggio in Corsica", quindi da Adrien de Mortillet, diversi elementi (lastre monoliti, menhir menhir e le sue ) l'allineamento sono stati distrutti o rimossi di recente. Eppure è la segnalazione di questo megalite che ha avviato la ricerca preistorica in Corsica.





Dal 1956, seguendo i suoi predecessori, la preistoria Roger Grosjean doveva andare a Sollacaro. Si trova sulla Turrichju tumulo, in prossimità della frazione di Filitosa è stato scoprire i resti di una preistorica e una notevole serie di monoliti scolpiti, che rappresentano la maggior parte dei guerrieri armati di spada e pugnale . Questi testimoni sono stati assimilati dalla tradizione popolare senza età, i cavalieri: Paladini (Paladin) protezione degli isolani contro i Saraceni.

Gli studi archeologici hanno portato evidenza di occupazione umana del Taravo valle a partire dalla fine del Mesolitico (VII millennio aC). Presso il sito preistorico di Campo Stefano. Il deposito ha una sepoltura collettiva in un riparo sotto roccia contenente le ossa di almeno sei persone di quel periodo.

Durante il periodo neolitico (quarto millennio aC e il sesto), bassa valle Taravo è stato operato da un agro-pastorale della popolazione che ha lasciato molte tracce del suo habitat. Sulla città di Sollacaro sono diverse importanti giacimenti: Campo Stefano ha recentemente consegnato le più antiche occupazioni, e io Calanchi Filitosa-Sapar'Alta. Gli ultimi due siti sono classificati come monumenti storici. Filitosa, dalla notevole concentrazione di menhir e il villaggio dell'età del Bronzo (II-I millennio aC.) È stata iscritta nella lista dei "100 siti storici di interesse comune per Paesi del Mediterraneo "nell'ambito del" Piano d'azione per il Mediterraneo ".

Il borgo storico è stato costruito il nucleo originario del quartiere "Torri". Su un promontorio roccioso della feudatari Istria eretto nel tardo XIV secolo una residenza più ampia, sotto il loro nido d'aquila di Castello d'Istria. Dalle case a torre del XVI secolo tre, uniti l'uno all'altro, ordinerà l'aspetto del villaggio che allora aveva un centinaio di anime.

Sollacaro ha costruiti diversi palazzi di granito che sono pietre miliari regolari nel suo sviluppo centrate sulla seconda metà del XVIII e XIX secolo. Tra il 1636 e il 1861, la sua popolazione di 366 anime ha dovuto spendere più di 1000 abitanti per raggiungere il suo massimo, 1561 abitanti, nel 1911.

La chiesa parrocchiale, in gran parte ricostruita nel XIX secolo, fu costruita sul sito della ex cappella di "The Nonziata" (Annunciazione) che ha condiviso diverse comunità della pieve del XVI secolo.

Nel 1853 i comuni di Sollacaro e Calvese sono state fuse. Anche se non superare più di 250 abitanti, tuttavia, è rimasto Calvese parrocchia fino al ventesimo secolo. La chiesa dedicata a S. Alberto Grandi le date del XVI secolo, ma il suo status attuale è quello del XVIII secolo. Intorno al 1750 fu ampliata nel 1759 e i soffitti a volta della Cappella della Madonna del Rosario e il coro, erano decorate con dipinti e affreschi.

Sollacaro fu la residenza di diversi personaggi famosi: Sebastianu Costa, segretario del re Teodoro vi soggiornò nel 1736, il celebre biografo scozzese di Pascal Paoli, l'aristocratico James Boswell, ha incontrato il generale durante il suo soggiorno in Corsica in ottobre 1765 la casa di Colonna d'Istria. Questa stessa casa ricevere altri ospiti famosi come Prosper Mérimée, in missione ufficiale come ispettore dei monumenti storici, e Alexandre Dumas vi soggiornò nel 1841. Questa è l'atmosfera di una famiglia di Sollacaro lo scrittore si baserà il suo romanzo: una famiglia corsa, che è diventato il corso Brothers. Questa novella, rappresenta i gemelli Franchi Malles: il "selvaggio" Lucien è rimasto a casa, mentre avvocato parigino Louis sembra perdere di vista i valori delle sue radici ancestrali. Entrambi sono accomunati da uno strano legame che li fa sentire le stesse angosce e li associa telepaticamente. Inoltre, quando Louis è stato ucciso in un duello, per sostenere l'onore della moglie di un amico, Lucien Sollacaro a sentire il dolore della morte di suo fratello e si recherà nella capitale per vendicarlo. L'eroe e l'autore che si è ritratta in questa tragedia, ci danno a meditare sulle condizioni di costumi corsi nella prima metà del XIX secolo ed i valori sociali di nostalgia per un passato che dissipano il viso l'avanzamento inesorabile della società moderna. Ben 17 adattamenti dei film, tra cui otto del muto, hanno incoronato i fratelli Corso, il cui luogo di nascita era immaginario Sollacaro. (Da Giuseppe Cesari: aspetti della vita economica e sociale di una comunità a sud della Corsica: Calvesi - unico-).


 

 

Der Common-Sollacaro Calvese gehört heute zum Kanton-Petreto Bicchisano im Bezirk Sartène. Abdecken 2396 ha, es nimmt einen großen Teil des Downstream-Bereich des Tales Taravo. Hier ist die Landschaft bietet kontrastreiche Bilder: Nach einem großen Teil der Ebene von der Mündung des Flusses, Hügel, umgeben von Olivenbäumen, allmählich wie ein Amphitheater steigen. Dörfer und Sollacaro Calvese inszeniert werden fast 500 m auf der schattigen Seite der Kette Buturetu, die zu 871 m ansteigt. Die felsigen Höhen, die aus einem dichten Wald mit Eichen, unten Taravo Tal Baracci aufgeteilt. Die Geschichte hat die Kluft durch die Kombination von Geologie und Orographie erstellt angeeignet, denn seit dem Mittelalter diese natürliche Barriere bildet die Grenze zwischen den Herrschaften von Istrien und Rocca di Valle, jetzt zwischen Townships Petreto-Bicchisano und Olmeto.
Es ist in einem Chaos aus Granit, oberhalb des Dorfes Sollacaro, dass so der Chronist Giovanni della Grossa, die Genuesen in Luciano Franchi war im zwölften Jahrhundert ein "Castello" gebaut. Diese Echtzeit Adlernest ist 780 m über dem Dorf thront. Es ist von dieser Stärke, dass die Familie von Istrien prognostiziert wurde. Der berühmteste Charakter dieser Linie war Graf Vincentello, entstand der König von Aragon im Jahre 1421 unter dem Vizekönig von Korsika. Erbitterter Gegner von Genua sollte er seine Tage im Jahre 1434 in der ligurischen Hauptstadt zu beenden, unter dem Beil des Scharfrichters.

Das Castello d'Istrien bietet dem Besucher noch ein paar Mauern und eine Zisterne. Prosper Mérimée, während seines Aufenthalts im Sollacaro im Jahre 1839, hatte eine Inschrift auf einem Türsturz, die zeigten noch die Eigenschaft der Vincentello von Istrien berichtet. Leider ist diese bemerkenswerte archäologische Produkt wurde vor kurzem gestohlen. Da verließ er den Dolmen Taravo, oder di u Stazzona Diavolu, zum ersten Mal von Kapitän Mathieu berichtet in den Annalen der Akademie Celtic im Jahr 1810? Sehr wenig, weil im Fall von diesem ehrwürdigen Denkmal, akribisch zuerst von Merimee in seinen "Notizen von einer Reise nach Korsika," dann dokumentiert von Adrien de Mortillet, mehrere Elemente (Brammen Monolithen, Menhire Menhire und seine Ausrichtung) wurden zerstört oder entfernt kürzlich. Doch es ist die Meldung dieser Megalith, der die prähistorische Forschung in Korsika gestartet.



Ab 1956, nach seiner Vorgänger, hatte der Prähistoriker Roger Grosjean, um Sollacaro gehen. Es ist auf dem Hügel Turrichju, in der Nähe des Weilers Filitosa er die Aufdeckung der Überreste eines prähistorischen und eine bemerkenswerte Reihe von geschnitzten Monolithen wurde, die für die meisten Krieger mit Schwert und Dolch bewaffnet . Paladini (Paladin) Schutzkleidung der Inselbewohner gegen die Sarazenen: Diese Zeugen wurden von zeitloser Folk-Tradition, die Ritter assimiliert.

Archäologische Untersuchungen brachten Hinweise auf menschliche Besiedlung des Tals Taravo seit dem späten Mittelsteinzeit (siebte Jahrtausend v.Chr.) An der prähistorischen Stätte von Campo Stefano. Die Lagerstätte hat eine kollektive Bestattung in einer Felshöhle, die die Knochen von mindestens sechs Individuen aus dieser Zeit.

Während der Jungsteinzeit (vierte und sechste Jahrtausend v. Chr.) wurde das untere Tal Taravo von einer agro-pastoralen Bevölkerung, die viele Spuren hinterlassen hat seinen Lebensraum betrieben. Über die Gemeinde von Sollacaro gibt mehrere wichtige Lagerstätten: Campo Stefano hat vor kurzem die älteste Berufen geliefert, und ich Calanchi Filitosa-Sapar'Alta. Die beiden letztgenannten Standorte sind unter Denkmalschutz. Filitosa, wurde von der bemerkenswerten Konzentration der Menhire und das Dorf von der Bronzezeit (II-I Jahrtausend v. Chr..) Auf der Liste der "100 historische Stätten von gemeinsamem Interesse zu beschriftenden Mittelmeer-Länder "unter dem Titel" Aktionsplan für das Mittelmeer ".

Es ist in einem Chaos aus Granit, oberhalb des Dorfes Sollacaro, dass so der Chronist Giovanni della Grossa, die Genuesen in Luciano Franchi war im zwölften Jahrhundert ein "Castello" gebaut. Diese Echtzeit Adlernest ist 780 m über dem Dorf thront. Es ist von dieser Stärke, dass die Familie von Istrien prognostiziert wurde. Der berühmteste Charakter dieser Linie war Graf Vincentello, entstand der König von Aragon im Jahre 1421 unter dem Vizekönig von Korsika. Erbitterter Gegner von Genua sollte er seine Tage im Jahre 1434 in der ligurischen Hauptstadt zu beenden, unter dem Beil des Scharfrichters.

Das Castello d'Istrien bietet dem Besucher noch ein paar Mauern und eine Zisterne. Prosper Mérimée, während seines Aufenthalts im Sollacaro im Jahre 1839, hatte eine Inschrift auf einem Türsturz, die zeigten noch die Eigenschaft der Vincentello von Istrien berichtet. Leider ist diese bemerkenswerte archäologische Produkt wurde vor kurzem gestohlen. Da verließ er den Dolmen Taravo, oder di u Stazzona Diavolu, zum ersten Mal von Kapitän Mathieu berichtet in den Annalen der Akademie Celtic im Jahr 1810? Sehr wenig, weil im Fall von diesem ehrwürdigen Denkmal, akribisch zuerst von Merimee in seinen "Notizen von einer Reise nach Korsika," dann dokumentiert von Adrien de Mortillet, mehrere Elemente (Brammen Monolithen, Menhire Menhire und seine Ausrichtung) wurden zerstört oder entfernt kürzlich. Doch es ist die Meldung dieser Megalith, der die prähistorische Forschung in Korsika gestartet.



Ab 1956, nach seiner Vorgänger, hatte der Prähistoriker Roger Grosjean, um Sollacaro gehen. Es ist auf dem Hügel Turrichju, in der Nähe des Weilers Filitosa er die Aufdeckung der Überreste eines prähistorischen und eine bemerkenswerte Reihe von geschnitzten Monolithen wurde, die für die meisten Krieger mit Schwert und Dolch bewaffnet . Paladini (Paladin) Schutzkleidung der Inselbewohner gegen die Sarazenen: Diese Zeugen wurden von zeitloser Folk-Tradition, die Ritter assimiliert.

Archäologische Untersuchungen brachten Hinweise auf menschliche Besiedlung des Tals Taravo seit dem späten Mittelsteinzeit (siebte Jahrtausend v.Chr.) An der prähistorischen Stätte von Campo Stefano. Die Lagerstätte hat eine kollektive Bestattung in einer Felshöhle, die die Knochen von mindestens sechs Individuen aus dieser Zeit.

Während der Jungsteinzeit (vierte und sechste Jahrtausend v. Chr.) wurde das untere Tal Taravo von einer agro-pastoralen Bevölkerung, die viele Spuren hinterlassen hat seinen Lebensraum betrieben. Über die Gemeinde von Sollacaro gibt mehrere wichtige Lagerstätten: Campo Stefano hat vor kurzem die älteste Berufen geliefert, und ich Calanchi Filitosa-Sapar'Alta. Die beiden letztgenannten Standorte sind unter Denkmalschutz. Filitosa, wurde von der bemerkenswerten Konzentration der Menhire und das Dorf von der Bronzezeit (II-I Jahrtausend v. Chr..) Auf der Liste der "100 historische Stätten von gemeinsamem Interesse zu beschriftenden Mittelmeer-Länder "unter dem Titel" Aktionsplan für das Mittelmeer ".

Es ist in einem Chaos aus Granit, oberhalb des Dorfes Sollacaro, dass so der Chronist Giovanni della Grossa, die Genuesen in Luciano Franchi war im zwölften Jahrhundert ein "Castello" gebaut. Diese Echtzeit Adlernest ist 780 m über dem Dorf thront. Es ist von dieser Stärke, dass die Familie von Istrien prognostiziert wurde. Der berühmteste Charakter dieser Linie war Graf Vincentello, entstand der König von Aragon im Jahre 1421 unter dem Vizekönig von Korsika. Erbitterter Gegner von Genua sollte er seine Tage im Jahre 1434 in der ligurischen Hauptstadt zu beenden, unter dem Beil des Scharfrichters.

Das Castello d'Istrien bietet dem Besucher noch ein paar Mauern und eine Zisterne. Prosper Mérimée, während seines Aufenthalts im Sollacaro im Jahre 1839, hatte eine Inschrift auf einem Türsturz, die zeigten noch die Eigenschaft der Vincentello von Istrien berichtet. Leider ist diese bemerkenswerte archäologische Produkt wurde vor kurzem gestohlen. Da verließ er den Dolmen Taravo, oder di u Stazzona Diavolu, zum ersten Mal von Kapitän Mathieu berichtet in den Annalen der Akademie Celtic im Jahr 1810? Sehr wenig, weil im Fall von diesem ehrwürdigen Denkmal, akribisch zuerst von Merimee in seinen "Notizen von einer Reise nach Korsika," dann dokumentiert von Adrien de Mortillet, mehrere Elemente (Brammen Monolithen, Menhire Menhire und seine Ausrichtung) wurden zerstört oder entfernt kürzlich. Doch es ist die Meldung dieser Megalith, der die prähistorische Forschung in Korsika gestartet.



Ab 1956, nach seiner Vorgänger, hatte der Prähistoriker Roger Grosjean, um Sollacaro gehen. Es ist auf dem Hügel Turrichju, in der Nähe des Weilers Filitosa er die Aufdeckung der Überreste eines prähistorischen und eine bemerkenswerte Reihe von geschnitzten Monolithen wurde, die für die meisten Krieger mit Schwert und Dolch bewaffnet . Paladini (Paladin) Schutzkleidung der Inselbewohner gegen die Sarazenen: Diese Zeugen wurden von zeitloser Folk-Tradition, die Ritter assimiliert.

Archäologische Untersuchungen brachten Hinweise auf menschliche Besiedlung des Tals Taravo seit dem späten Mittelsteinzeit (siebte Jahrtausend v.Chr.) An der prähistorischen Stätte von Campo Stefano. Die Lagerstätte hat eine kollektive Bestattung in einer Felshöhle, die die Knochen von mindestens sechs Individuen aus dieser Zeit.

Während der Jungsteinzeit (vierte und sechste Jahrtausend v. Chr.) wurde das untere Tal Taravo von einer agro-pastoralen Bevölkerung, die viele Spuren hinterlassen hat seinen Lebensraum betrieben. Über die Gemeinde von Sollacaro gibt mehrere wichtige Lagerstätten: Campo Stefano hat vor kurzem die älteste Berufen geliefert, und ich Calanchi Filitosa-Sapar'Alta. Die beiden letztgenannten Standorte sind unter Denkmalschutz. Filitosa, wurde von der bemerkenswerten Konzentration der Menhire und das Dorf von der Bronzezeit (II-I Jahrtausend v. Chr..) Auf der Liste der "100 historische Stätten von gemeinsamem Interesse zu beschriftenden Mittelmeer-Länder "unter dem Titel" Aktionsplan für das Mittelmeer ".

Das historische Dorf wurde aus dem ursprünglichen Kern des Stadtteils "Torri" gebaut. Auf einem felsigen Vorgebirge des Feudalherren Istrien errichtet im späten vierzehnten Jahrhundert eine geräumigere Residenz, unter ihrem Horst von Castello d'Istrien. Von den sechzehnten Jahrhundert Turm beherbergt drei kam einem zum anderen, bestelle das Erscheinungsbild des Dorfes, dann hatte hundert Seelen.

Sollacaro verfügt über mehrere Villen aus Granit gebaut, dass ein normales Meilensteine seiner Entwicklung in der zweiten Hälfte des achtzehnten und neunzehnten Jahrhundert zentriert sind. Zwischen 1636 und 1861 hatte die Einwohnerzahl von 366 Seelen auf über 1000 Einwohner verbringen bis zu ihrer maximalen, 1561 Einwohner, im Jahr 1911 zu erreichen.

Die Pfarrkirche, vor allem im neunzehnten Jahrhundert wieder aufgebaut, wurde auf dem Gelände der ehemaligen Kapelle von "The Nonziata" (Verkündigung), die mehrere Gemeinden des Pieve dem sechzehnten Jahrhundert gebaut geteilt.

Im Jahr 1853 die Gemeinden und Sollacaro Calvese zusammengelegt wurden. Obwohl nie mehr als 250 Einwohnern überschritten, jedoch blieb Calvese Pfarrei bis zum zwanzigsten Jahrhundert. Die Kirche von St. Albertus Magnus stammt aus dem sechzehnten Jahrhundert gewidmet ist, aber sein aktueller Status ist, dass des achtzehnten Jahrhunderts. Um 1750 wurde es im Jahr 1759 und den gewölbten Decken der Kapelle Unserer Lieben Frau vom Rosenkranz und dem Chor vergrößert, wurden mit Gemälden und Fresken geschmückt.

Sollacaro war die Residenz von mehreren großen Persönlichkeiten Sebastianu Costa, Sekretär der König Theodor dort waren im Jahr 1736 traf sich der berühmte schottische Biograph von Pascal Paoli, der aristokratische James Boswell, die allgemeine während seines Aufenthalts in Korsika im Oktober 1765 Das Haus der Colonna d'Istria. Das gleiche Haus empfangen andere berühmte Gäste wie Prosper Mérimée, auf Amtspflicht als Inspektor der historischen Denkmäler, Alexandre Dumas und blieb dort im Jahre 1841. Dies ist die Atmosphäre einer Familie von Sollacaro der Schriftsteller seinen Roman ziehen wird: einer korsischen Familie, die Cheech wurde. Diese Novelle schildert die Zwillinge Franchi Mals: die "wilden" Lucien blieb zu Hause, während Louis Pariser Anwalt scheint aus den Augen zu den Werten seiner Vorfahren Wurzeln zu verlieren. Beide werden von einem seltsamen Band, das ihnen das Gefühl, die gleichen Ängste und ordnet sie telepathisch macht vereint. Auch wenn Louis in einem Duell getötet wurde, für die Unterstützung, die Ehre der Frau eines Freundes, um Lucien Sollacaro fühlen den Schmerz von dem Tod seines Bruders und wird in die Hauptstadt reisen, um ihn zu rächen. Der Held und der Autor, der selbst porträtiert in dieser Tragödie, geben Sie uns bis zu den Bedingungen der korsischen Manieren in der ersten Hälfte des neunzehnten Jahrhunderts und die sozialen Werte von Nostalgie meditieren für eine Vergangenheit, die Gesicht zu zerstreuen der unaufhaltsame Fortschritt der modernen Gesellschaft. So viele wie 17 Anpassungen an den Filmen, darunter acht in der Stummfilmzeit, gekrönt haben die Blutrache, deren Geburtsort Sollacaro imaginär. (Von Joseph Cesari: Aspekte des wirtschaftlichen und sozialen Leben einer Gemeinschaft südlich von Korsika: Calvesi - unique-).


 


The common-Sollacaro Calvese belongs to Canton-Petreto Bicchisano in the borough of Sartene. Covering 2396 ha, it occupies a large portion of the downstream area of the valley Taravo. Here the landscape offers contrasting pictures: after a large section of plain from the mouth of the river, hills covered with olive trees, gradually rise like an amphitheater. Villages and Sollacaro Calvese are staged almost 500 m on the shady side of the chain Buturetu which rises to 871 m. The rocky crests emerging from a thick forest of oaks, split down Taravo Valley Baracci. The story has appropriated the divide created by the combination of geology and orography, because since the medieval period this natural barrier forms the frontier between the lordships of Istria and Rocca di Valle, now between townships Petreto-Bicchisano and Olmeto.
It is in chaos granitic, above the village of Sollacaro that according to the chronicler Giovanni della Grossa, the Genoese in Luciano Franchi had built in the twelfth century a "castello". This real eagle's nest is perched 780 meters above the village. It is from this strong point that the family of Istria was forecast. The most famous character of this line was Count Vincentello, the king of Aragon arose in 1421, under the Viceroy of Corsica. Fierce opponent of Genoa he should end his days in 1434 in the Ligurian capital, under the executioner's ax.

The Castello d'Istria still offers the visitor a few walls and a cistern. Prosper Merimee, during his stay at Sollacaro in 1839, had reported an inscription on a lintel which showed still the property of Vincentello of Istria. Unfortunately this remarkable archaeological item was stolen recently. As he left the dolmen Taravo, or di u Stazzona Diavolu, reported for the first time by Captain Mathieu in the annals of the Academy Celtic in 1810? Very little, because in the case of this venerable monument, meticulously documented first by Merimee in his "Notes from a trip to Corsica," then by Adrien de Mortillet, several elements (slabs monoliths, menhirs menhirs and its alignment) were destroyed or removed recently. Yet it is the reporting of this megalith who initiated the prehistoric research in Corsica.



From 1956, following his predecessors, the prehistorian Roger Grosjean had to go to Sollacaro. It is on the mound Turrichju, near the hamlet of Filitosa he was uncovering the remains of a prehistoric and a remarkable series of carved monoliths, accounting for most warriors armed with sword and dagger . These witnesses were assimilated by ageless folk tradition, the knights: Paladini (Paladin) protective of the islanders against the Saracens.

Archaeological studies brought evidence of human occupation of the valley Taravo since the late Mesolithic (seventh millennium BC.) At the prehistoric site of Campo Stefano. The deposit gave a collective burial in a rock shelter containing the bones of at least six individuals of that period.

During the Neolithic period (fourth and sixth millennia BC), the lower valley Taravo was operated by an agro-pastoral population which has left many traces of its habitat. On the town of Sollacaro are several important deposits: Campo Stefano has recently delivered the oldest occupations, and I Calanchi Filitosa-Sapar'Alta. The latter two sites are classified as historical monuments. Filitosa, by the remarkable concentration of menhirs and the Village of the Bronze Age (II-I millennia BC.) Was inscribed on the list of "100 historical sites of common interest to Mediterranean countries "under the" Action Plan for the Mediterranean ".

It is in chaos granitic, above the village of Sollacaro that according to the chronicler Giovanni della Grossa, the Genoese in Luciano Franchi had built in the twelfth century a "castello". This real eagle's nest is perched 780 meters above the village. It is from this strong point that the family of Istria was forecast. The most famous character of this line was Count Vincentello, the king of Aragon arose in 1421, under the Viceroy of Corsica. Fierce opponent of Genoa he should end his days in 1434 in the Ligurian capital, under the executioner's ax.

The Castello d'Istria still offers the visitor a few walls and a cistern. Prosper Merimee, during his stay at Sollacaro in 1839, had reported an inscription on a lintel which showed still the property of Vincentello of Istria. Unfortunately this remarkable archaeological item was stolen recently. As he left the dolmen Taravo, or di u Stazzona Diavolu, reported for the first time by Captain Mathieu in the annals of the Academy Celtic in 1810? Very little, because in the case of this venerable monument, meticulously documented first by Merimee in his "Notes from a trip to Corsica," then by Adrien de Mortillet, several elements (slabs monoliths, menhirs menhirs and its alignment) were destroyed or removed recently. Yet it is the reporting of this megalith who initiated the prehistoric research in Corsica.



From 1956, following his predecessors, the prehistorian Roger Grosjean had to go to Sollacaro. It is on the mound Turrichju, near the hamlet of Filitosa he was uncovering the remains of a prehistoric and a remarkable series of carved monoliths, accounting for most warriors armed with sword and dagger . These witnesses were assimilated by ageless folk tradition, the knights: Paladini (Paladin) protective of the islanders against the Saracens.

Archaeological studies brought evidence of human occupation of the valley Taravo since the late Mesolithic (seventh millennium BC.) At the prehistoric site of Campo Stefano. The deposit gave a collective burial in a rock shelter containing the bones of at least six individuals of that period.

During the Neolithic period (fourth and sixth millennia BC), the lower valley Taravo was operated by an agro-pastoral population which has left many traces of its habitat. On the town of Sollacaro are several important deposits: Campo Stefano has recently delivered the oldest occupations, and I Calanchi Filitosa-Sapar'Alta. The latter two sites are classified as historical monuments. Filitosa, by the remarkable concentration of menhirs and the Village of the Bronze Age (II-I millennia BC.) Was inscribed on the list of "100 historical sites of common interest to Mediterranean countries "under the" Action Plan for the Mediterranean ".

It is in chaos granitic, above the village of Sollacaro that according to the chronicler Giovanni della Grossa, the Genoese in Luciano Franchi had built in the twelfth century a "castello". This real eagle's nest is perched 780 meters above the village. It is from this strong point that the family of Istria was forecast. The most famous character of this line was Count Vincentello, the king of Aragon arose in 1421, under the Viceroy of Corsica. Fierce opponent of Genoa he should end his days in 1434 in the Ligurian capital, under the executioner's ax.

The Castello d'Istria still offers the visitor a few walls and a cistern. Prosper Merimee, during his stay at Sollacaro in 1839, had reported an inscription on a lintel which showed still the property of Vincentello of Istria. Unfortunately this remarkable archaeological item was stolen recently. As he left the dolmen Taravo, or di u Stazzona Diavolu, reported for the first time by Captain Mathieu in the annals of the Academy Celtic in 1810? Very little, because in the case of this venerable monument, meticulously documented first by Merimee in his "Notes from a trip to Corsica," then by Adrien de Mortillet, several elements (slabs monoliths, menhirs menhirs and its alignment) were destroyed or removed recently. Yet it is the reporting of this megalith who initiated the prehistoric research in Corsica.



From 1956, following his predecessors, the prehistorian Roger Grosjean had to go to Sollacaro. It is on the mound Turrichju, near the hamlet of Filitosa he was uncovering the remains of a prehistoric and a remarkable series of carved monoliths, accounting for most warriors armed with sword and dagger . These witnesses were assimilated by ageless folk tradition, the knights: Paladini (Paladin) protective of the islanders against the Saracens.

Archaeological studies brought evidence of human occupation of the valley Taravo since the late Mesolithic (seventh millennium BC.) At the prehistoric site of Campo Stefano. The deposit gave a collective burial in a rock shelter containing the bones of at least six individuals of that period.

During the Neolithic period (fourth and sixth millennia BC), the lower valley Taravo was operated by an agro-pastoral population which has left many traces of its habitat. On the town of Sollacaro are several important deposits: Campo Stefano has recently delivered the oldest occupations, and I Calanchi Filitosa-Sapar'Alta. The latter two sites are classified as historical monuments. Filitosa, by the remarkable concentration of menhirs and the Village of the Bronze Age (II-I millennia BC.) Was inscribed on the list of "100 historical sites of common interest to Mediterranean countries "under the" Action Plan for the Mediterranean ".

The historic village was constructed from the original nucleus of the district "Torri". On a rocky promontory of the feudatories Istria erected in the late fourteenth century a more spacious residence, below their eyrie of Castello d'Istria. From the sixteenth century tower houses three, joined one to another, will order the appearance of the village who then had a hundred souls.

Sollacaro has several mansions built of granite that are regular milestones in its development centered on the second half of the eighteenth and nineteenth centuries. Between 1636 and 1861, its population of 366 souls had to spend over 1000 inhabitants to reach its maximum, 1561 inhabitants, in 1911.

The parish church, largely rebuilt in the nineteenth century, was built on the site of the former chapel of "The Nonziata" (Annunciation) that shared several communities of the pieve the sixteenth century.

In 1853 the municipalities of Sollacaro and Calvese were merged. Although never exceeded more than 250 inhabitants, however, remained Calvese parish until the twentieth century. The church dedicated to St. Albert the Great dates from the sixteenth century, but its current status is that of the eighteenth century. Around 1750 it was enlarged in 1759 and the vaulted ceilings of the Chapel of Our Lady of the Rosary and the choir, were decorated with paintings and frescoes.

Sollacaro was the residence of several famous people: Sebastianu Costa, secretary of King Theodore stayed there in 1736, the famous Scottish biographer of Pascal Paoli, the aristocratic James Boswell, met the general during his stay in Corsica in October 1765 the house of Colonna d'Istria. This same house receive other famous guests such as Prosper Merimee, on official duty as an inspector of historic monuments, and Alexandre Dumas stayed there in 1841. This is the atmosphere of a family of Sollacaro the writer will draw his novel: A Corsican family, which became The Corsican Brothers. This novella, depicts the twins Franchi mals: the "wild" Lucien remained at home, while Louis Parisian lawyer seems to lose sight of the values of his ancestral roots. Both are united by a strange bond that makes them feel the same anxieties and associates them telepathically. Also, when Louis was killed in a duel, for supporting the honor of the wife of a friend, Lucien Sollacaro to feel the pain of his brother's death and will travel to the capital to avenge him. The hero and the author who is himself portrayed in this tragedy, give us to meditate on the conditions of Corsican manners in the first half of the nineteenth century and the social values of nostalgia for a past that dissipate face the inexorable progress of modern society. As many as 17 adjustments to the movies, including eight in the silent era, have crowned the Corsican Brothers, whose birthplace was Sollacaro imaginary. (From Joseph Cesari: Aspects of economic and social life of a community south of Corsica: Calvesi - unique-).
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