Village de grand caractère, il est accroché accroché en nid d'aigle sur une arête rocheuse : Son aspect aspect défensif,ses hautes façades serrées,ses maisons à arcades accotées à des rochers, ruelles étroites et abruptes, ainsi que ses passages voûtés a l'architecture typiquement corse.
Le plus ancien document attestant de l’existence de Lama date du début du XIIIe siècle (1206 pour être précis).
Les premières maisons de Lama ont été érigées sur une sorte de «nid d’aigle» au pied d’une tour de guet appelée en langue corse «A Torra».
Lorsqu’au début du XVIIe siècle, Gênes puissance coloniale de la Corse, décide de développer l’arboriculture en Corse, le village, qui possède des oliviers à l’état sauvage, va connaître le début de son âge d’or.Son oliveraie va, au fil du temps, s’accroître de telle manière, qu’elle atteindra le nombre de 35 000 pieds d’oliviers, et qu’elle sera l’une des plus importantes de Corse, voire de France.
D’ailleurs, la richesse que génère pour le village cette huile abondante et renommée va avoir des prolongements tant sur le plan architectural que culturel.
La particularité architecturale de Lama est de voir le mariage
(réussi) de deux styles différents : le centre médiéval, composé de maisons collées les unes aux autres, de ruelles étroites et voûtées, voit s’ajouter «l’architecture d’affirmation» des familles oléiculteurs les plus aisés qui se font construire, au XVIIIe siècle, de grandes maisons bourgeoises.
Maison Bertola : 3 pièces de grande qualité esthétique avec peintures murales anciennes au jaune d'oeuf (médaillons représentant les poètes célèbres de la Renaissance Italienne) et mobilier Second Empire esthétique avec peintures murales anciennes au jaune d'oeuf (médaillons représentant les poètes célèbres de la Renaissance Italienne) et mobilier Second Empire.
vallée de Lama : pont du Vico, anciens pressoirs à huile.
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