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Le village ne compte pas moins de dix sept hameaux. SISCO fut longtemps l’enjeu de lutte entre les seigneurs de Brandu et de Canari, avant d’être conquis par les de Gentile au 18ème siècle. La commune passera ensuite sous domination génoise et ne ralliera que très tard à Paoli.
Sisco était un important centre métallurgique au 19ème.
On peut voir aussi des coffrets du 13éme siècle, renfermant des reliques, décors des symboles des templiers ; l’église conserve les voiles de Ste Anne, de Ste Catherine, de Ste Marie Madeleine, ainsi qu’une ampoule du sang humain à l’état liquide, un morceau de la nappe de la Cène avec une vignette écrite en araméen et sa traduction en romain…
Au dessus de l’autel une représentation de St Martin en évêque sculpture dorée de plus de 200 kg domine l’assemblée. Autel de marbre marqueté est une réplique de celui de l’église Santa Maria de Novella de Florence. L’église renferme aussi un tableau de l’école italienne du 16éme offert par le cardinal FESCH.
A l’écart des hameaux une piste vous mènera à la chapelle St Michel de style roman datant de 1030.
Le village ne compte pas moins de dix-sept hameaux. Sisco fut longtemps l’enjeu de lutte entre les seigneurs de Brandu et de Canari, avant d’être conquis par les GENTILE au XVème siècle. Elle passera sous occupation génoise et ne se ralliera que très tard à Paoli.
C’était un centre métallurgique important jusqu’au XIXème siècle, qui connut un déclin au début du XXème.
Au hameau de San Martino son église paroissiale St Martin renferme de nombreuses reliques dont des coffrets du XIIème siècle décorés des symboles des templiers, les voiles de Ste ANNE, de Ste MARIE MADELEINE, un morceau de la nappe de la cène avec une vignette écrite en araméen et une autre en latin ainsi qu’une ampoule de sang humain liquide.
Mais les reliques les plus importantes sont celles de Ste CATHERINE qui furent déposées par un navire venant d’orient vers l’an 1255. Monseigneur MARIANA évêque de Marana et d’Accia les déclara authentiques le 14 Aout 1774.
L’église st Martin conserve un tableau issue de la collection FESCH de l’école italienne du 16éme, son autel est la copie de celui de l’église SANTA MARIA DI NOVELLA à FLORENCE, chef d’œuvre du marquetage de marbre. Au dessus de ce dernier dominant l’assemblée la statue dorée du saint pesant prés de 200kg.
A l’écart des hameaux on peut accéder par une piste à la chapelle ST MICHEL de style datant de l’an 1030.
Au cap Sagro, prés de la marine se trouve la grotte Santa Catalina, qui a la réputation d’être hantée. Le lieu est sombre, peu accueillant, mais c’est l’entrée du couvent par des escaliers anciens appelés "I TOMBOLI". Le couvent Santa Catalina aux murs fortifiés a longtemps abrité les reliques de Ste Catherine, sa décoration intérieure rappelle l’orient où le culte de sainte est répandu. La façade est ornée de poterie.
On peut visiter le hameau de Teghje, dont le nom renvoie au terme corse de lauze. Les toits de lauzes étant une caractéristique de l’architecture du cap corse.
Le hameau de CROSCIANO est dominée par les ruines d’une tour génoise en ruine, celle de MONCAJA est en parfait état.
On peut en faire le point de départ de nombreuses excursions vers l’arrière pays et ainsi visiter les différentes chapelles et tours, et apprécier les magnifiques panoramas.
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