Occiglioni, l’un des hameaux du village, serait basé sur les fondations de l’ancienne cité d’Agila, d’après les historiens locaux. Cependant, le doute plane sur les origines de cette cité, puisque dans les textes antiques on trouve ce nom aussi bien chez les étrusques que chez les phéniciens.
Entouré d’oliviers, le village a du son développement à la production d’huile. On voit encore sur le Monte Regino quatre anciens moulins à huile qui témoignent de cette prospérité.
La sainte qui donne son nom au village est l’une des moins connues de l’hagiographie traditionnelle. Martyrisée en Palestine, on trouve quelques traces de son culte en Italie au Moyen-Âge, mais elle n’est quasiment pas mentionnée dans les textes.
Au lieu dit Campo Dormito, que l’on traduit par «le champ du sommeil», avaient coutume de s’affronter en duel les familles nobles rivales. On peut encore visiter les ruines de leurs tours aux environs du village.
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